Chercheurs
Frédéric Mérand
Frédéric Mérand (PhD, Berkeley) est professeur et directeur du Département de science politique de l'Université de Montréal. De 2013 à 2022, il a été directeur scientifique du Centre d'études et de recherches internationales de l'Université de Montréal (CÉRIUM). Membre du Collège des nouveaux chercheurs de la Société royale du Canada et professeur invité à l'Université McGill, à l'Université de Toronto, à la LUISS et à Sciences Po Paris, il est un spécialiste de la sociologie des relations internationales, de la sécurité mondiale et de l'économie politique européenne.
Vincent Pouliot
Vincent Pouliot est professeur professeur et titulaire de la Chaire en études internationales de la Faculté des arts et sciences de l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur la sociologie politique internationale, notamment la gouvernance mondiale, les organisations internationales, la diplomatie multilatérale et l’histoire globale. Ses travaux sont d’abord et avant tout connus pour leur contribution au développement de la théorie de la pratique en Relations internationales. Son plus récent livre, coécrit avec Jean-Philippe Thérien, s’intitule Comment s’élabore une politique mondiale? Dans les coulisses de l’ONU (Presses de Sciences Po, 2024). Vincent Pouliot est aussi l’auteur de L’ordre hiérarchique international. Les luttes de rang dans la diplomatie multilatérale (Presses de Science Po, 2017) et de plusieurs livres en anglais, incluant Global Policymaking: The Patchwork of Global Governance (avec Jean-Philippe Thérien, 2023); International Pecking Orders: The Politics and Practice of Multilateral Diplomacy (2016); et International Security in Practice: The Politics of NATO-Russia Diplomacy (2010); ainsi que le co-directeur de Theorizing World Orders: Cognitive Evolution and Beyond (2021), Diplomacy and the Making of World Politics (2015) et International Practices (2011). Ses projets de recherche en cours concernent la transformation en cours de l’organisation du travail en gouvernance mondiale, d’une part; ainsi que l’enjeu de la diversité linguistique dans la mise en administration du monde, du colonialisme moderne à l’âge de l’intelligence artificielle.
Sarah-Myriam Martin-Brûlé
Sarah-Myriam Martin-Brûlé est professeure titulaire à l’Université Bishop’s et Fellow non-résidente au International Peace Institute, New York. Elle est directrice adjointe du Centre FrancoPaix . En 2018–2019, elle détient la Canada Fulbright Research Chair for Peace and War Studies. En 2021, elle reçoit le prix national 3M pour l’excellence en enseignement. Elle est membre associée du Centre d’études pour la paix et la sécurité internationale et du Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal (CERIUM). Ses intérêts de recherche portent sur le renseignement dans les opérations de paix, les opérations de la paix et les conflits intra-étatiques. Ses plus récentes publications incluent “Competing for Trust: Challenges in UN Peacekeeping-Intelligence”. Auteure des premières directives onusiennes sur le genre et le renseignement dans le maintien de la paix, elle est également co-auteure du premier manuel des Nations Unies pour les centres d’analyse conjointe (Joint Mission Analysis Centres) (United Nations, 2018). Elle a récemment mené des terrains de recherche à la MINUSCA (République d’Afrique centrale), MINUSMA (Mali), MONUSCO (République Démocratique du Congo), et UNMISS (Sud Soudan). Elle est co-animatrice du balado « Conseils de sécurité », une co-production CDSN-RCDS et RAS-NSA.
Miriam Cohen
Miriam Cohen est titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les droits humains et la justice réparatrice internationale, et professeure agrégée à la Faculté de droit de l’Université de Montréal, où elle donne des cours en droit international public et en droit international des droits humains. Elle est également chercheuse associée au Centre de recherche en droit public (CRDP), au Centre international de criminologie comparée (CICC) et au Centre d’études et de recherches internationales (CÉRIUM).
Romain Lecler
Professeur en politique mondiale au département de science politique de l’Université du Québec à Montréal, Romain Lecler a été formé en science politique et en sciences sociales à l’Ecole Normale Supérieure, Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Sciences-Po Paris. Sociologue de la mondialisation, il s’intéresse aussi aux méthodes et théories des sciences sociales de l’international. Il a étudié et publié sur la mondialisation audiovisuelle et la diversité culturelle. Depuis quelques années, il poursuit deux projets de recherche. Le premier porte sur la professionnalisation de l’international et la professionnalisation de la mondialisation à partir d’une étude des salons internationaux. L’autre porte sur la circulation des normes de genre dans la politique mondiale à partir du cas des diplomates.
Alex Tipei
Alex Tipei est une historienne transnationale. Ses recherches portent sur les réseaux d’élites politiques et intellectuels qui ont lié l’Europe du Sud-Est (surtout les territoires composant de nos jours la Roumanie et la Grèce) à la France pendant le XIXe siècle. Elle s’intéresse également à la place des interactions dans un perspective mondiale. Elle a obtenu son doctorat à l’Université d’Indiana et elle a eu des postes en tant que chercheure et/ou enseignante aux universités d’Illinois, Princeton, McGill et de Bucarest avant de commencer sa position chez UdeM.
Étudiants
Donia Mansour
Donia Mansour poursuit une maîtrise en science politique à l’UQAM, sous la direction de Romain Lecler. Originaire de Tunisie, elle a complété son baccalauréat à l’UQAM en science politique et relations internationales, avec une concentration en études féministes. Elle a participé à l’élaboration de la Politique 12 de l’UQAM sur la parentalité et la proche aidance étudiantes.
Elle s’intéresse aux enjeux de genre, de race et de colonialité dans la mondialisation contemporaine et dans l’organisation des sociétés, particulièrement en ce qui concerne le travail de care (soin/attention).
Kareem Faraj
Kareem Faraj est étudiant à la maîtrise au département de science politique de l’Université de Montréal. Ses intérêts de recherche portent sur la localisation des normes et pratiques internationales, ainsi que sur les origines non occidentales de la gouvernance mondiale. Pour l’année universitaire 2025-2026, il détient une bourse BESC M du CRSH et occupe le poste de coordonnateur du groupe de recherche FRQSC « Mondialisation sous tension ». Il est aussi le réalisateur et éditeur du balado bilingue Tour de Table, une collaboration entre le Max Bell School de l’Université McGill et le département de science politique de l’Université de Montréal, animé par les professeurs Jennifer Welsh et Frédéric Mérand. Kareem a également complété un baccalauréat ès arts (hon.) en science politique de McGill.
Scott Patterson
Scott Robert Patterson is a Ph.D. candidate in Political Science at McGill University. His dissertation work focuses on developing machine learning techniques to analyze diplomatic archive material. Scott served as the administrative coordinator for the Mondialisation Sous Tension team from 2023-2024. He is a fellow at the Centre for International Peace and Security Studies and at the Media Ecosystem Observatory. Additionally, he served in an advisory role at McGill on the pedagogical impacts of generative AI tools. His work has been published in Global Studies Quarterly, the Journal of International Relations and Development, and Études Internationales.
Jessy Benoit
Jessy Benoit est un étudiant au doctorat en science politique à l’Université du Québec à Montréal sous la direction de Romain Lecler. Il s’intéresse à la réorganisation des mouvements d’opposition exilés face aux contraintes, notamment en réaction aux pratiques autoritaires extraterritoriales. Sa thèse de doctorat s’attarde plus précisément à l’étude des mouvements exilés russes et arabes installés en Allemagne.
Junru Bian
Junru est étudiant au doctorat à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa, supervisé par les professeures Marie-Eve Desrosiers et Sarah-Myriam Martin-Brûlé. Ses recherches portent sur les identités, les perceptions et les pratiques des acteurs de l’aide humanitaire, du maintien de la paix et du développement dans les environnements de crise. Avec ses recherches, il cherche à comprendre la relation entre les normes institutionnelles et les pratiques quotidiennes dans l’intervention du conflit. Dans le cadre de ses recherches, il s’entretient avec différents intervenants dans plusieurs conflits pour comprendre leurs expériences quotidiennes dans ces environnements de crise. Après avoir vécu en Russie, en Afghanistan et dans la plupart des pays d’Asie centrale, Junru a déménagé au Canada pour effectuer son baccalauréat en études internationales à l’Université Bishop’s. Sa thèse de premier cycle portait sur les programmes de secours en espèces dans les scénarios post-urgence. Avant de compléter sa maîtrise en sciences politiques à l’Université McGill, il a travaillé au sein de programmes d’aide humanitaire et de développement au Tadjikistan, en Mongolie, au Myanmar et en Éthiopie. Il parle le mandarin, l’anglais, le français et le russe.
Yaxin Zhu
Yaxin Zhou est candidate au doctorat en science politique à l’Université de Montréal. Elle est titulaire d’une maîtrise en études européennes, obtenue dans le cadre d’un double diplôme entre l’Université de Montréal et l’Université catholique de Louvain. Dans son projet de thèse, elle effectue des recherches sur le triangle politique entre les gouvernements des pays d’Asie du Sud-Est, les entreprises technologiques privées chinoises et le gouvernement chinois, dans le contexte de la nouvelle Route de la soie numérique. Elle est également affiliée au Centre Jean Monnet de Montréal (CJMM) et à la Chaire de recherche en études indo-pacifiques de l’Université Laval.
Marianna Mason
Master’s student at McGill University in the department of Political Science. I specialize in International Relations, with my forthcoming thesis exploring the effects of sectarianism as a discourse in the Middle East. I am interested in questions of human rights, especially in relation to immigration, refugeehood, and displacement. I have experience in diplomacy, having participated in Model United Nations conferences in Montreal, Toronto, and Madrid as a college student, as well as acting as a member of McGill’s Advisory Committee to the United Nations as an undergraduate student, when I participated at the Conference on the Status of Women in 2023.
Master’s student at McGill University in the department of Political Science. I specialize in International Relations, with my forthcoming thesis exploring the effects of sectarianism as a discourse in the Middle East. I am interested in questions of human rights, especially in relation to immigration, refugeehood, and displacement. I have experience in diplomacy, having participated in Model United Nations conferences in Montreal, Toronto, and Madrid as a college student, as well as acting as a member of McGill’s Advisory Committee to the United Nations as an undergraduate student, when I participated at the Conference on the Status of Women in 2023.
Marie-Pier Allard-Caron
Marie-Pier est étudiante au doctorat au Département de science politique de l’Université Queen’s, sous la co-direction de la Dre Stéfanie von Hlatky et de la Dre Sarah-Myriam Martin-Brûlé. Elle occupe le poste de coordinatrice des publications et de chercheuse émergente au sein du Réseau d’Analyse Stratégique (RAS). Originaire du Québec, elle a obtenu son baccalauréat en science politique et en études internationales à l’Université Bishop’s en 2021, puis a complété une double maîtrise en science politique et en études européennes à l’Université de Montréal et à l’Université Catholique de Louvain en 2023. Marie-Pier se spécialise dans le domaine des relations internationales, portant un intérêt particulier aux questions liées aux opérations de paix, aux organisations internationales et aux forces armées.
Laurie Trottier
Après trois ans au Yukon, Laurie Trottier est de retour à Montréal pour poursuivre sa maîtrise en science politique à l’Université McGill. Son mémoire, supervisé par Vincent Pouliot, se concentre sur la gouvernance arctique. Titulaire d’une technique en journalisme et d’un baccalauréat en relations internationales et droit international, elle est journaliste depuis plus de sept ans, ayant notamment travaillé à CTV News, à l’Aurore boréale à Whitehorse, et à La Presse canadienne. Elle a remporté le Prix UE-Canada pour jeunes journalistes ainsi que la Bourse nordique-canadienne en journalisme environnemental, en raison de projets liés à la protection des caribous par les Premières Nations au Yukon et à la politique arctique de l’Union européenne. Intérêts de recherche : gouvernance mondiale, gouvernance arctique, décolonisation.
Maxime Kertzinger
Maxime Kertzinger est étudiant à la maîtrise au Département de science politique de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Préalablement titulaire d’une licence de science politique à l’Université de Haute Alsace (2022, France), il s’est intéressé et spécialisé sur la criticité des ressources. Sous la direction de Romain Lecler, sa recherche porte sur la construction sociale de la criticité des matières premières européennes, en particulier sur l'aluminium. Il est aussi membre de la coordination du Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie (CRIDAQ), ainsi qu'assistant de recherche et d'enseignement.
Minghan Sun
Minghan is a PhD student in the Department of Political Science at McGill University. Her research interests lie in the everyday practices and materialities of global governance, and her current project focuses on United Nations interns.
Prior to coming to McGill, she completed her Master in International Relations/Political Science at the Geneva Graduate Institute (IHEID) and did an internship with the United Nations Office at Geneva. She holds a B.A. (Hon.) in International Relations and Contemporary Asian Studies from the University of Toronto.
Marjolaine Lamontagne
Marjolaine Lamontagne est candidate au doctorat en sciences politiques (Relations internationales et politique comparée) à l’Université McGill, sous la direction de Vincent Pouliot. Ses travaux s’inscrivent en sociologie politique internationale et portent sur la gouvernance mondiale de l’environnement et la diplomatie hybride des acteurs non étatiques et des gouvernements locaux et infranationaux. Ses recherches ont bénéficié du soutien financier des Fonds de recherche du Québec – Société et culture (2020-2021) et du Secrétariat Vanier-Banting (bourse Vanier, 2021-2024). Elle est présentement boursière de la Fondation Pierre Elliott Trudeau (2022-2025).
Ny Hasina Lyndah Randrianarivo
Randrianarivo Ny Hasina Lyndah est étudiante en maîtrise de droit international à l'Université de Montréal, sous la direction des professeurs Miriam Cohen et Jean-François Gaudreault-Desbiens. Ses recherches portent sur la traite des personnes, adoptant une approche intersectionnelle qui met l'accent sur les personnes vulnérables telles que les femmes et les enfants. Randrianarivo aspire à contribuer à la protection des droits humains en s'impliquant dans des initiatives qui visent à renforcer la législation sur la traite des êtres humains. Parmi ses ambitions, elle souhaite participer à la création de programmes d'éducation visant à sensibiliser le public et les professionnels sur les enjeux liés à la traite, tout en collaborant avec des organisations pour développer des mécanismes d’assistance et de réhabilitation pour les victimes. Titulaire d’un baccalauréat en droit civil de l’Université Sociale de Moscou (RSSU) et un diplôme en administration de l'Institut de Management des Arts et des Métiers (IMGAM) à Madagascar. Dans ses projets futurs, elle envisage de travailler avec des organisations internationales et des ONG pour mettre en œuvre des stratégies visant à protéger les droits des personnes vulnérables sur le plan mondial.
Olouwafêmi Rodrigue Oloudé
Olouwafêmi Rodrigue OLOUDÉ est candidat au doctorat en droit (L.L.D) à l’Université de Montréal, sous la direction de la Professeure Miriam COHEN. Son objet de recherche porte sur les interventions armées à dessein humanitaire et a, précisément, trait à l’effectivité de la « responsabilité de protéger » (R2P) dans le cadre de l’Organisation des Nations Unies (O.N.U). Ce projet sera l'occasion de se prononcer sur la capacité de la R2P à passer de son énoncé à sa concrétisation, donc à sa mise en œuvre pratique et objective par les Nations Unies. Il vise à participer à la quête desolutions, dans le cadre des Nations Unies, pour préserver les populations civiles des souffrances et exactions de masse (génocides, crimes de guerre, crimes contre l’humanité,nettoyages ethniques) dont le concept de responsabilité de protéger vise à éviter la survenance. Titulaire d’un master recherche (D.E.A) en « Droit international et organisations internationales » de l’Université d’Abomey-Calavi, Olouwafêmi s’intéresse principalement au droit international public général, au droit international pénal, au droit des organisations internationales, au droit des conflits armés, à la prévention et la résolution des conflits ainsi qu’à la gouvernance mondiale. Il est, par ailleurs, responsable des communications, des relations et activités étudiantes au Centre de recherche en droit public (CRDP) et rédacteur en chef adjoint de la revue Lex Electronica.
Nouwagnon Olivier Afogo
l’Université Jean Moulin Lyon 3 sous la direction des Professeures Miriam Cohen et Kiara Néri. Son sujet de thèse porte sur la contribution du Tribunal international du droit de la mer à la protection des droits humains dans le contentieux de l’application coercitive des lois et règlements de l’État côtier à l’encontre des navires étrangers. M. Afogo est titulaire d’une maîtrise en droit à l’Université d’Abomey-Calavi et d’un master 2 en droit international à l’Institut des droits de l’Homme Lyon, à l’Université Jean Moulin Lyon 3 et à l’Université Grenoble Alpes. Ses travaux de recherche portent principalement sur le droit de la mer, le droit du climat, les systèmes régionaux et onusien de protection des droits humains. Il est chargé d’enseignements à l’Université Jean Moulin Lyon 3, à l’Université Grenoble Alpes et à l’Université catholique de Lyon.
Andrew Abou Mourad
À venir.
Soheila El Ghaziri
À venir.
Wassim Tayssir
Wassim Tayssir est candidat au doctorat en sciences politiques à l’Université de Montréal, sous la direction de Frédéric Mérand. Ses travaux portent sur la politique étrangère et les études européennes, qu’il analyse sous l’angle de la sociologie politique. Prenant la France comme cas d’étude, son enquête s’intéresse à la stratégie d’influence française au sein des arènes européennes (Commission, Conseils, Parlement). Pour réaliser ses recherches, il s’appuie sur des méthodes qualitatives telles que l’analyse de discours, l’entretien et l’ethnographie.
Wassim Tayssir est diplômé de Sciences Po Paris. Son mémoire de recherche, qui portait sur le discours de politique étrangère d’Emmanuel Macron, a été récompensé par une publication aux éditions L’Harmattan. Il a par la suite effectué un stage d’un an Parlement européen, lui permettant ainsi de mener des observations participantes auprès d’une diplomate et eurodéputée française.
Frédérique Boyer-Viau
À venir.
Samuel Simon
Samuel Simon est candidat au doctorat en droit à l’Université de Montréal. Il est titulaire d’un Master en administration et droit de l’action publique (Université Grenoble Alpes) et d’une Licence en droit (Université d’État d’Haïti). Sa recherche doctorale porte sur « La réparation des entreprises victimes de cyberattaques lancées dans les conflits armés internationaux : applicabilité ou réforme du régime juridique existant ? ». Il explore, à travers cette thèse, la capacité du cadre juridique international à répondre aux enjeux de compensation des entreprises touchées par ces attaques et propose des pistes de réforme adaptées aux défis technologiques, géopolitiques et économiques contemporains.
Emmanuelle Rousseau
À venir.
Charlotte Bannerot
Charlotte Bannerot est étudiante à la maîtrise en Études internationales à l’Université de Montréal. Diplômée d’un Bachelor en relations internationales de l’Université de Genève, elle s’intéresse particulièrement au système juridique international, aux droits humains ainsi qu’aux approches critiques des relations internationales. Elle débutera prochainement un stage au Centre d'études et de recherches internationales de l’Université de Montréal (CÉRIUM), où elle approfondira ses réflexions sur les enjeux contemporains de la gouvernance mondiale.
Carla Kallas
À Carla Kallas est doctorante en droit à l'Université de Montréal. Sa thèse porte sur les disparitions forcées des Libanais détenus en Syrie, sous la supervision de Mme la Professeure Miriam Cohen. Elle est titulaire d'un double Master en Droit des Affaires de l'Université de Poitiers (France) et de l'Université Saint-Esprit de Kaslik (Liban), ainsi que d'un Master en Études Stratégiques du Centre de Recherche et d'Études Stratégiques de l'Armée Libanaise et de la faculté de droit et des sciences politiques de l'Université Libanaise.
Animée par une passion pour la justice et la défense des droits humains, elle s'engage au-delà du milieu académique. Bénévole au sein de la Croix-Rouge jeunesse au Liban, elle a également effectué plusieurs stages au cours de son parcours, notamment auprès du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'Homme..
Léo Nidelet
Léo Nidelet est diplômé d’un baccalauréat en science politique de l’UQAM (Université du Québec à Montréal) avec une concentration en relations internationales et politique mondiale. Il suit un programme de double diplôme de maîtrise entre l’UQAM et l’IEPG (Institut d’Etudes politiques de Grenoble) dans le parcours Politiques et pratiques des organisations internationales, sous la direction de Romain Lecler.
Il s’intéresse aux effets de la mondialisation sur les conflits armés; aux réalisations des Organisations intergouvernementales et des ONG pour appréhender les crises internationales; aux stratégies nationales et multilatérales de défense; aux migrations internationales; et à la croissance des courants théoriques remettant en cause la mondialisation (notamment les discours souverainistes, populistes, altermondialistes, anticolonialistes).